Chères collègues,
Chers collègues,
Le congé des fêtes approche laissant derrière nous un automne très enrichissant. En effet, depuis la dernière rencontre d’information tenue par l’ACPUM sur la Révision de la structure d’emploi et de la rémunération des cadres et professionnels, nous avons eu, entre autres, deux rencontres avec les représentantes de la Direction des ressources humaines qui étaient accompagnées de Mme Nathalie Leblanc de la firme Normandin-Beaudry.
Lors de ces rencontres, nous avons exprimé nos préoccupations en mettant l’accent sur la baisse du pouvoir d’achat des 63 % des cadres et professionnels qui ont atteint le sommet de l’échelle salariale et nous avons demandé d’obtenir un portrait complet du projet. Bien que le dossier de la rémunération soit complexe, nous devons malgré tout nous prononcer sur une proposition globale.
L’Université a de l’expérience dans la consultation. Pensons ici aux statuts qui régissent notre établissement et pour lesquels nous avons été consultés. Pensons aussi à la Politique sur les violences à caractères sexuels, et, il y a quelques années, à l’équité salariale et aux politiques encadrant le temps supplémentaire. Tous ces dossiers sont complexes à divers niveaux et la période de brassage d’idées et de validation d’hypothèse est nécessaire. C’est pourquoi nous croyons qu’une véritable consultation doit s’asseoir sur la présentation d’un portrait complet de la situation, portrait que nous attendons avec impatience. Une troisième séance entre vos représentants et ceux de la Direction des ressources humaines est prévue au début de l’année 2019.
Récemment, l’Université procédait au 1er affichage du programme de maintien de l’équité salariale, conformément à la Loi sur l’équité salariale. La conclusion de l’exercice de maintien selon laquelle il n’y a pas d’écart salarial pour les catégories d’emploi à prédominance féminine a soulevé plusieurs questionnements. À cet égard, nous faisons actuellement des représentations afin d’obtenir davantage de données et pour nous assurer de la conformité de l’exercice.
Au moment où l’Université nous interpellait sur l’équité salariale, la Direction des ressources humaines nous faisait parvenir un sondage intitulé « Développement d’un positionnement employeur » sur l’image de marque de l’Université. Le format des questions de ce sondage a soulevé plusieurs interrogations. Quelle est donc la nécessité de mener ces projets en simultané? N’aurait-il pas mieux valu lancer l’exercice en 2019, et surtout prendre le temps de consulter l’ACPUM dans le choix de ces questions? Pourquoi nous consulter? Et bien, parce que nous connaissons nos membres et nous aurions pu indiquer certains écueils qu’un tel sondage peut impliquer.
Depuis la dernière année, les relations entre l’ACPUM et l’Employeur se sont grandement améliorées. Que l’année 2019 se poursuivre sur cette lancée pour que nous puissions trouver ensemble des solutions communes dans l’intérêt de la majorité de nos membres.
Isabelle Daoust
Présidente
Chères collègues,
Chers collègues,
Le congé des fêtes approche laissant derrière nous un automne très enrichissant. En effet, depuis la dernière rencontre d’information tenue par l’ACPUM sur la Révision de la structure d’emploi et de la rémunération des cadres et professionnels, nous avons eu, entre autres, deux rencontres avec les représentantes de la Direction des ressources humaines qui étaient accompagnées de Mme Nathalie Leblanc de la firme Normandin-Beaudry.
Lors de ces rencontres, nous avons exprimé nos préoccupations en mettant l’accent sur la baisse du pouvoir d’achat des 63 % des cadres et professionnels qui ont atteint le sommet de l’échelle salariale et nous avons demandé d’obtenir un portrait complet du projet. Bien que le dossier de la rémunération soit complexe, nous devons malgré tout nous prononcer sur une proposition globale.
L’Université a de l’expérience dans la consultation. Pensons ici aux statuts qui régissent notre établissement et pour lesquels nous avons été consultés. Pensons aussi à la Politique sur les violences à caractères sexuels, et, il y a quelques années, à l’équité salariale et aux politiques encadrant le temps supplémentaire. Tous ces dossiers sont complexes à divers niveaux et la période de brassage d’idées et de validation d’hypothèse est nécessaire. C’est pourquoi nous croyons qu’une véritable consultation doit s’asseoir sur la présentation d’un portrait complet de la situation, portrait que nous attendons avec impatience. Une troisième séance entre vos représentants et ceux de la Direction des ressources humaines est prévue au début de l’année 2019.
Récemment, l’Université procédait au 1er affichage du programme de maintien de l’équité salariale, conformément à la Loi sur l’équité salariale. La conclusion de l’exercice de maintien selon laquelle il n’y a pas d’écart salarial pour les catégories d’emploi à prédominance féminine a soulevé plusieurs questionnements. À cet égard, nous faisons actuellement des représentations afin d’obtenir davantage de données et pour nous assurer de la conformité de l’exercice.
Au moment où l’Université nous interpellait sur l’équité salariale, la Direction des ressources humaines nous faisait parvenir un sondage intitulé « Développement d’un positionnement employeur » sur l’image de marque de l’Université. Le format des questions de ce sondage a soulevé plusieurs interrogations. Quelle est donc la nécessité de mener ces projets en simultané? N’aurait-il pas mieux valu lancer l’exercice en 2019, et surtout prendre le temps de consulter l’ACPUM dans le choix de ces questions? Pourquoi nous consulter? Et bien, parce que nous connaissons nos membres et nous aurions pu indiquer certains écueils qu’un tel sondage peut impliquer.
Depuis la dernière année, les relations entre l’ACPUM et l’Employeur se sont grandement améliorées. Que l’année 2019 se poursuivre sur cette lancée pour que nous puissions trouver ensemble des solutions communes dans l’intérêt de la majorité de nos membres.
Isabelle Daoust
Présidente