L’impact de la culture organisationnelle sur nos décisions et nos actions
Le 27 mars dernier, 105 membres ont participé à la 23e conférence annuelle de l’ACPUM intitulée L’impact de la culture organisationnelle sur nos décisions et nos actions. L’évènement, qui s’est déroulé à HEC Montréal, portait sur la quête de sens au travail.
Comment ramener du sens au travail?
Mais comment peut-on ramener davantage de sens au travail de manière individuelle et collective, dans un contexte post-pandémique où le travail hybride a pris une grande place au sein des organisations?
C’est la question à laquelle Cloé Berthiaume-Pouliot et Jean Côté, de la firme Expérience Taago, ont répondu au cours de cette conférence-atelier qui jumelait la théorie, des exercices pratiques et des discussions ouvertes.
Selon eux, il est possible de ramener du sens au travail en commençant d’abord par comprendre le cadre organisationnel dans lequel on évolue.
Ils ont expliqué les différents types de culture que l’on peut retrouver au sein d’une organisation – et qui sont tous valides les uns que les autres -, et de quelle façon les décisions et les actions des individus et du collectif en sont affectées.
En effet, ces cultures peuvent entraîner des répercussions dans différentes sphères du travail, par exemple, la répartition des tâches, la collaboration, la prise de décision, la transparence et la confiance, l’épanouissement, la gestion du temps, le sens au travail et la gestion de l’erreur. Dans une grande organisation comme l’Université de Montréal, plusieurs cultures peuvent coexister et s’entrecroiser.
Une galerie photos de l’événement se trouve dans le Groupe privé Facebook de l’ACPUM.
L’impact de la culture organisationnelle sur nos décisions et nos actions
Le 27 mars dernier, 105 membres ont participé à la 23e conférence annuelle de l’ACPUM intitulée L’impact de la culture organisationnelle sur nos décisions et nos actions. L’évènement, qui s’est déroulé à HEC Montréal, portait sur la quête de sens au travail.
Comment ramener du sens au travail?
Mais comment peut-on ramener davantage de sens au travail de manière individuelle et collective, dans un contexte post-pandémique où le travail hybride a pris une grande place au sein des organisations?
C’est la question à laquelle Cloé Berthiaume-Pouliot et Jean Côté, de la firme Expérience Taago, ont répondu au cours de cette conférence-atelier qui jumelait la théorie, des exercices pratiques et des discussions ouvertes.
Selon eux, il est possible de ramener du sens au travail en commençant d’abord par comprendre le cadre organisationnel dans lequel on évolue.
Ils ont expliqué les différents types de culture que l’on peut retrouver au sein d’une organisation – et qui sont tous valides les uns que les autres -, et de quelle façon les décisions et les actions des individus et du collectif en sont affectées.
En effet, ces cultures peuvent entraîner des répercussions dans différentes sphères du travail, par exemple, la répartition des tâches, la collaboration, la prise de décision, la transparence et la confiance, l’épanouissement, la gestion du temps, le sens au travail et la gestion de l’erreur. Dans une grande organisation comme l’Université de Montréal, plusieurs cultures peuvent coexister et s’entrecroiser.
Une galerie photos de l’événement se trouve dans le Groupe privé Facebook de l’ACPUM.